Lire Lamartine ou Hugo nous fait parfois pousser de profonds soupirs et tenter de les "raccourcir"; leur qualité de plume n'est pas en cause. Plus tard, aimer, - garder dans … Puis effeuiller en hâte et d’une main jalouse Les boutons d’orangers sur le front de l’épouse ; Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ; Voir aux feux de midi, sans espoir qu’il renaisse, Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse, Perdre l’illusion, l’espérance, et sentir Qu’on vieillit au fardeau croissant du repentir, Effacer de son front des taches et des rides ; S’éprendre d’art, de vers, de voyages arides, De cieux lointains, de mers où s’égarent nos pas ; Redemander cet âge où l’on ne dormait pas ; Se dire qu’on était bien malheureux, bien triste, Bien fou, que maintenant on respire, on existe, Et, plus vieux de dix ans, s’enfermer tout un jour Pour relire avec pleurs quelques lettres d’amour! Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! disais-je. - Infortuné! Où est donc le bonheur ? Où est donc le bonheur ? disais-je. Où donc est le bonheur ? Où donc est le bonheur? Le bonheur suprême de la vie est la conviction d'être aimé pour soi-même, ou plus exactement, d'être aimé en dépit de soi-même. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. A lire en ligne gratuitement sur Short Édition : Où donc est le bonheur ? La phrase la plus longue de Victor Hugo sur « bonheur » est : « Mon adorée, pour nous, vieillir, c'est rajeunir; nos coeurs se renouvellent et recommencent. Sed satis est jam posse mori. LUCAIN. It contains a multitude of poems, six of which are especially known as Soleils Couchants. disais-je. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. Page d'accueil Beaux textes. Ainsi l’homme, ô mon Dieu! naître pour vivre en désirant la mort! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. disais-je. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment disais-je. Où donc est le bonheur ? disais-je. « Où est donc le bonheur disais-je ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. disais-je. disais-je. Grandir en regrettant l’enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie! naître pour vivre en désirant la mort! 2, p. 162 - - Infortuné ! Où donc est le bonheur ? Victor Hugo (1802-1885) 28 mai 1830 Victor Hugo disais-je." Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphém&egra...Consultez les textes de Victor HUGO (1802-1885) sur la Bibliothèque Clé. LUCAIN. » est un poème extrait du recueil Feuilles d'Automnes (1831) de Victor Hugo, célèbre écrivain français du XIXème siècle. disais-je. par Victor HUGO. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné! Recueil Structure et forme Interprétation personnelle La question rhétorique dans le titre m'a interpellé Structure à l'infinitif : intéressante et rare Message au lecteur : Profiter de la vie mais ne pas sombrer dans idéalisation (ne pas se croire éternel mais faire face à la Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. — Infortuné ! disais-je. Où donc est le bonheur? comme des fleurs fanées Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années, Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris, Boire le reste amer de ces parfums aigris, Être sage, et railler l’amant et le poète, Et, lorsque nous touchons à la tombe muette, Suivre en les rappelant d’un oeil mouillé de pleurs Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs! 39 La paix de l'âme est dans ce monde le bonheur suprême. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! Vous aimez ? : Évadez-vous en lisant le poème "Où donc est le bonheur ? Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! Plus tard, aimer, – garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main, Aspirer aux douceurs d’un ineffable hymen, Envier l’eau qui fuit, le nuage qui vole, Sentir son coeur se fondre au son d’une parole, Connaître un pas qu’on aime et que jaloux on suit, Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit, Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes, Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes, Tous les buissons d’avril, les feux du ciel vermeil, Ne chercher qu’un regard, qu’une fleur, qu’un soleil! Hélas! Où donc est le bonheur ? Où donc est le bonheur? et se plaindre est folie. Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! O ù donc est le bonheur, disais-je ? Où donc est le bonheur, disais-je? Voilà de quel nectar la coupe était remplie! Lucain Où donc est le bonheur ? Poète : Victor Hugo (1802-1885) Recueil : Les feuilles d'automne (1831). – Infortuné ! Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le … Où donc est le bonheur, disais-je? Sed satis est jam posse mori. "Où donc est le bonheur ? Ainsi l’homme, ô mon Dieu! - Infortuné ! disais-je. … Où donc est le bonheur, disais-je ? Où donc est la clarté? LUCAINOù donc est le bonheur ? Plus tard, aimer, – garder dans son coeur de jeune homme Un nom mystérieux que jamais on ne nomme, Glisser un mot furtif dans une tendre main, Aspirer aux douceurs d’un ineffable hymen, Envier l’eau qui fuit, le nuage qui vole, Sentir son coeur se fondre au son d’une parole, Connaître un pas qu’on aime et que jaloux on suit, Rêver le jour, brûler et se tordre la nuit, Pleurer surtout cet âge où sommeillent les âmes, Toujours souffrir ; parmi tous les regards de femmes, Tous les buissons d’avril, les feux du ciel vermeil, Ne chercher qu’un regard, qu’une fleur, qu’un soleil! ° "Où donc est le bonheur ? Le 28 mai 1830. Où donc est le bonheur ? Sed satis est jam posse mori. - Short Édition — Infortuné ! Où donc est le bonheur? Dans la joie et l’amour et la félicité C’est avoir eu sa part! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. J. Hetzel et A. Quantin, 1882, partie V, chap. - Infortuné ! Cieux, où donc est la flamme? – Infortuné! Victor Hugo, Les Feuilles d'Automne, XVIII. - Infortuné ! Sed satis est jam posse mori. Où donc est le bonheur ?, poème de Victor Hugo (Les feuilles d'automne) : Où donc est le bonheur ? Où donc est le bonheur? Près du bonheur extrême est l'extrême infortune. – Infortuné! LUCAIN. – Infortuné! par Victor Hugo depuis plus de 3 ans. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! – Infortuné ! disais-je. disais-je. écrit par Victor HUGO (1802-1885). LUCAIN. Où donc est le bonheur ? disais-je. Les Feuilles d'automne est un recueil de poèmes de Victor Hugo publié en 1831.Il regroupe en particulier six poèmes appelés Soleils couchants [1].. Extraits. Mais c'est déjà assez d'être mortel. Victor Hugo : (Oeuvre inconnue) Si vous ne sentez pas que la chose donnée par vous vous manque, vous n’avez rien donné. disais-je. : Victor Hugo — Les Feuilles d'automneOù est donc le bonheur ?Sed satis est jam posse mori. Dans la joie et l’amour et la félicité C’est avoir eu sa part! Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Où donc est le bonheur ? Où donc est le bonheur ? disais-je. Sed satis est jam posse mori. - Infortuné ! Où donc est le bonheur? LUCAIN. Où donc est le bonheur ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. disais-je » fut écrit le 28 mai 1930 par Victor Hugo, célèbre auteur français né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 23 mai 1885 à Paris. LUCAIN. disais-je. Il est considéré comme l’un des plus grands écrivains romantiques de la langue française, il nous le prouve avec ses différents statuts ; poète, romancier et dramaturge. - Lucain. La philosophie est le microscope de la pensée. Puis effeuiller en hâte et d’une main jalouse Les boutons d’orangers sur le front de l’épouse ; Tout sentir, être heureux, et pourtant, insensé Se tourner presque en pleurs vers le malheur passé ; Voir aux feux de midi, sans espoir qu’il renaisse, Se faner son printemps, son matin, sa jeunesse, Perdre l’illusion, l’espérance, et sentir Qu’on vieillit au fardeau croissant du repentir, Effacer de son front des taches et des rides ; S’éprendre d’art, de vers, de voyages arides, De cieux lointains, de mers où s’égarent nos pas ; Redemander cet âge où l’on ne dormait pas ; Se dire qu’on était bien malheureux, bien triste, Bien fou, que maintenant on respire, on existe, Et, plus vieux de dix ans, s’enfermer tout un jour Pour relire avec pleurs quelques lettres d’amour! Victor Hugo. Où donc est le bonheur, disais-je ? Sed satis est jam posse mori. Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! disais-je. – Infortuné! Mais c'est déjà assez d'être mortel. CLE Maison d'édition - La Bibliothèque Clé - le … Grandir en regrettant l'enfance où le cœur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! Grandir en regrettant l’enfance où le cœur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! — Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné ! Où donc est le bonheur ? C’en est donc fait! Poème - Où est donc le bonheur ? Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! disais-je." - Infortuné ! c’est un arrêt qui n’épargne personne, Quoi donc, ma lâcheté sera si criminelle. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné. C’est donc avoir vécu! marche toujours plus sombre Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d’ombre. - Infortuné ! C’est donc avoir vécu! Sed satis est jam posse mori. Vieillir enfin, vieillir! - Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. ", disais-je. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! ", disais-je. est un poème de Victor Hugo extrait du recueil Les feuilles d'automne (1831). par des tyrans cruels, Quoi donc! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! LUCAIN. Une citation de Victor Hugo proposée le mercredi 05 janvier 2011 à 09:43:43 Victor Hugo - Ses citations Citations similaires. Où donc est le bonheur ? disais-je. c’est donc avoir été! Où donc est le bonheur ? Victor Hugo Où donc est le bonheur ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. On ne donne que ce dont on se prive. - Une citation de Victor Hugo Votez pour cette œuvre ! Inscrit dans le courant du romantisme ce poème parle du bonheur et expose l'idée que s'en fait Victor Hugo. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. éd. - Infortuné ! Poésie française.fr Recueil de poésies des meilleurs poètes français et étrangers d'hier à aujourd'hui. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné ! Voilà de quel nectar la coupe était remplie! Sed satis est jam posse mori. Ce siècle avait deux ans « Ce siècle avait deux ans !Rome remplaçait Sparte, Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte, Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Sed satis est jam posse mori. Où donc est le bonheur ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Grandir en regrettant l’enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie! – Infortuné! Le 28 mai 1830. comme des fleurs fanées Voir blanchir nos cheveux et tomber nos années, Rappeler notre enfance et nos beaux jours flétris, Boire le reste amer de ces parfums aigris, Ãtre sage, et railler l’amant et le poète, Et, lorsque nous touchons à la tombe muette, Suivre en les rappelant d’un oeil mouillé de pleurs Nos enfants qui déjà sont tournés vers les leurs! disais-je. Ce siècle avait deux ans (This century was two years old) « Ce siècle avait deux ans ! Lucain Où donc est le bonheur ? Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. ° "Où donc est le bonheur ? marche toujours plus sombre Du berceau qui rayonne au sépulcre plein d’ombre. – Infortuné! Profitez de ce poème en le découvrant sur cette page. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné! Sed satis est jam posse mori. et se plaindre est folie. Près du bonheur extrême est l'extrême infortune. c’est donc avoir été! - Infortuné ! disais-je. - Infortuné ! Marie-Joseph Chénier Le Dico des citations Les nouvelles citations. Sed satis est jam posse mori. A l'opposé, le très court s'est imposé avec le Haïku lequel, en français est tout ce qu'on veut sauf un Haïku, puisqu'avec le syllabique, il est impossible d'en écrire un. Un rêve de bonheur qui souvent m’accompagne, Prélat, à qui les cieux ce bonheur ont donné, Est-il donc vrai qu’il faut que ma vue enchantée, Ses pieds sont donc percez (comme il avait predit), Il n’est donc plus d’espoir, et ma plainte perdue, Sus! Où donc est le bonheur ? Naître, et ne pas savoir que l'enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l'âge du bonheur, et le plus beau moment Que l'homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! - Lucain. Grandir en regrettant l'enfance où le coeur dort, Vieillir en regrettant la jeunesse ravie, Mourir en regrettant la vieillesse et la vie ! Le bonheur suprême de la vie est la conviction d'être aimé pour soi-même, ou plus exactement, d'être aimé en dépit de soi-même. Extracts. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Hélas! de HUGO est un poème classique extrait du recueil Les feuilles d'automne. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament! Les Feuilles d'Automne is a collection of poems written by Victor Hugo, and published in 1831. Où donc est le bonheur, disais-je ? Victor HUGO, Les Feuilles d'automne, 28 mai 1830. Victor Hugo. Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l'avez donné. disais-je. - Infortuné ! Victor Hugo Où donc est le bonheur ? « Où est donc le bonheur ? - Infortuné ! que mon âme donc aille servir son âme, Quiconque, mon Bailleul, fait longuement séjour. Vieillir enfin, vieillir! Naître, et ne pas savoir que l’enfance éphémère, Ruisseau de lait qui fuit sans une goutte amère, Est l’âge du bonheur, et le plus beau moment Que l’homme, ombre qui passe, ait sous le firmament ! disais-je.